Le programme d’action d’Addis-Abeba note que la coopération fiscale internationale devrait être renforcée d’une manière qui soit universelle dans son approche et sa portée et qui tienne pleinement compte des différents besoins et capacités de tous les pays. Si pendant de nombreuses années la coopération fiscale internationale s’est concentrée sur la conclusion de conventions fiscales bilatérales, dont l’objectif principal était de réduire la double imposition, ces derniers temps, cette coopération a de plus en plus porté sur l’établissement de normes fiscales visant à combler les lacunes et à limiter les possibilités pour les entreprises multinationales de se soustraire à leurs obligations de payer les impôts.
Photo de Florian Wehde
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Le programme d’action d’Addis-Abeba note que la coopération fiscale internationale devrait être renforcée d’une manière qui soit universelle dans son approche et sa portée et qui tienne pleinement compte des différents besoins et capacités de tous les pays. Si pendant de nombreuses années la coopération fiscale internationale s’est concentrée sur la conclusion de conventions fiscales bilatérales, dont l’objectif principal était de réduire la double imposition, ces derniers temps, cette coopération a de plus en plus porté sur l’établissement de normes fiscales visant à combler les lacunes et à limiter les possibilités pour les entreprises multinationales de se soustraire à leurs obligations de payer les impôts.